• "Grev" par Jocelyne Labille.

    LKP : (Mouvement contre l'exploitation outrancière) regroupe plus d'une quarantaine de syndicats et d'associations pour lutter contre la vie chère en Guadeloupe.

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    [A Aya & Sylvie]

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  • "Mundya Ve" - Punjab Music

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    Jodhpur

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    Jodphur

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    Udaïpur

    La femme indienne a bien des obstacles à combattre pour se faire une place.

    La jeune citadine, si elle est issue de la classe aisée, a plus de chances de fréquenter l'université. Mais dans un pays où l'alphabétisation est une lutte quotidienne, les femmes font évidemment partie des exclus de l'enseignement. 64,1% des garçons sont désormais scolarisés, seuls 39,4% des filles suivent un enseignement régulier (d'après un recensement de 2001).

    Le Rajasthan musulman n'ouvre les portes de ses écoles qu'à 20% à peine de ses filles ! A l'inverse, plus de 86% de celle du Kerala (région du sud de l'Inde) sont scolarisés normalement. Il faut aussi différencier la ville de la campagne, où les filles quittent rapidement le milieu scolaire.

    Avoir une fille est considéré comme une charge financière, en raison des dots qui ont toujours cours, bien qu'interdites officiellement depuis 1961.En un mot, avoir une fille est considéré comme un mauvais investissement : d'un part, sa dot coûtera cher (la famille s'endettera parfois à vie pour la payer)et, d'autres part, elle ne rapportera rien à ses parents. Donc, autant qu'elle serve à quelque chose : tâches ménagères, garde des enfants seront ses activités. Une fois mariée, elle passe en principe sous l'autorité de son mari et, en pratique, sous celle de sa belle mère...

    Tous les cas sont possibles, de la violence morale à la torture physique et même parfois jusqu'au meurtre si la dot tarde à être réglée, enfin généralement déguisé en suicide ou accidents (un saris prend « malencontreusement » feu dans les cuisines).

    Ce qui reste certain, c'est que la femme indienne, même lorsqu'elle tombe sur une belle -famille correcte, n'est pas reconnue comme un individu. Elle n'a pas droit à la parole, subit souvent des violences conjugales qui vont des coups aux viols. Elles manquent de soins, de respect....

    Heureusement, les mentalités évoluent sûrement mais lentement. Le nombre de femmes autonomes et entreprenantes s'accroît d'années en années...Les féministes ont encore beaucoup de travail à faire !

    L'Inde est quand même l'un des seuls pays au monde (avec la Chine) à avoir une population masculine plus nombreuse que la population féminine...On estime qu'il manquerait aujourd'hui de 36 à 48 millions de femmes en Inde.

    VIVE LA LIBERTE ET L EMANCIPATION DES FEMMES DANS LE MONDE !

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    Udaïpur

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    Jaïpur

    Chronique de Catherine Clément dans les matins de France Culture


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