• Fanch, Reno Bistan, Armelle Dumoulin, LalaBolduc s'étaient donnés rendez vous à l'atmosphère pour finir le weekend en chanson!
    Bonne ambiance en leur compagnie!


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    Son : "Les voleurs d'Ivoire" par le délirant Bacchus!

    Passez y !!!

    http://www.nicolas-bacchus.com/

    Fanch : http://www.fanch.org/
    Lalabolduc: http://lalabolduc.free.fr/
    Armelle Dumoulin : http://armelledumoulin.free.fr/


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  • Dynamique sur la péniche Sonic!
    Punk, rock au rendez vous de cette soirée mouvementée.
    Des bons petits groupes (surtout Flashfalcon) énergétiques...
    Un public loin d'être réceptif ( ? dommage!)

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    Son : "More drugs More lies" par Sonic Assassin

    http://sonicassassin.free.fr/
    http://jerryspidergang.free.fr/
    www.flashfalcon-theband.com/

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  • "Le monde de la culture entre en scène

    Spectacle vivant . Journée de mobilisation du monde de la culture. Musiciens, acteurs, danseurs, chorégraphes, metteurs en scène, directeur de structures dénoncent le désengagement de l'État et l'absence d'une politique culturelle.

    Théâtre de l'Odéon, mercredi matin. Tout le théâtre public dans sa diversité s'est retrouvé pour signifier son inquiétude, son indignation comme sa détermination à ne pas assister, les bras croisés, à l'asphyxie de la politique culturelle, au démantèlement des missions de création et d'action culturelle. Après le monde du cinéma (lire l'Humanité du 22 février), celui du spectacle vivant, à l'appel de nombreuses organisations professionnelles et syndicales, se retrouvera aujourd'hui pour dénoncer « le désengagement de l'État », « le détricotage du maillage artistique et culturel qui renforce les inégalités territoriales ».

    Première riposte

    Ne faut-il pas voir, dans cette mobilisation massive, une première riposte à la hauteur des inquiétudes suscitées par la lettre de mission de Sarkozy à la ministre de la Culture (lire notre édition du 17 janvier) ? Inquiétudes largement confortées par des premières coupes budgétaires sévères à l'encontre des structures publiques. Inquiétudes confirmées après les Entretiens de Valois, le 11 février dernier, où la ministre parle de « fin de cycle ». Inquiétudes devant ce que d'aucuns qualifient de fuite en avant d'un ministère qui subit sans broncher les oukases présidentiels.

    Au ministère justement, on cache mal sa fébrilité. « Non, la ministre de la Culture n'est nullement inquiète », nous dit-on. La conférence de presse convoquée à peine celle de l'ensemble des acteurs du théâtre public à l'Odéon terminée, ainsi que son apparition, à la toute dernière minute, au Soir 3 de mercredi ? « Pour réagir. Mme Albanel a ressenti l'envie et le besoin de ce qu'elle estime être vrai. » Et d'affirmer, non sans un certain aplomb, qu'il n'y a « pas de désengagement de l'État ; pas de baisse de subventions ; pas d'absence de politique culturelle ». Toutes les baisses pointées après soustraction-addition-soustraction, tous ces clignotants au rouge, toute cette mobilisation relèveraient donc du simple « ressenti ». La ministre évoque une augmentation de 40 % sur les dix dernières années en omettant de préciser que son périmètre d'intervention s'est considérablement élargi. Faire du plus avec du moins, tout un art. Car le compte n'y est pas.

    Sur le terrain, pas un jour ne se passe sans que les mesures budgétaires se soldent par l'annulation de projets, la réduction, voire l'annulation des interventions en milieu scolaire, du travail de proximité en direction des publics, de l'accueil en résidence de compagnies de théâtre, de danse ou de musiciens. Toutes choses qui figurent, pourtant, dans le cahier de charges du contrat qui lie les directeurs de structures publiques à l'État. D'un côté, les discours alignent sans sourciller des déclarations flatteuses... aussitôt contredites par la réalité du terrain. Mais la mobilisation des acteurs du monde de la culture dépasse largement les seules questions budgétaires, aussi cruciales soient-elles. Après la réforme de l'intermittence - qui a éjecté du système d'assurance chômage des dizaines de milliers d'artistes et techniciens -, après les baisses du budget, après la marche forcée vers un désengagement de l'État, c'est l'existence même d'un ministère de la Culture qui suscite moult interrogations. Pendant cinquante ans, la France s'est affirmée comme l'une des nations les plus audacieuses en matière de création artistique grâce, notamment, à son réseau public unique de la culture, qui a révélé de grandes figures du théâtre comme de la danse. Grâce au maillage artistique et culturel qui atteint l'ensemble du territoire, du centre-ville des grandes métropoles aux zones rurales les plus reculées.

    Or, ces derniers temps, il est de bon ton de stigmatiser ces « artistes » qui se plaignent mais crouleraient sous l'argent public. De montrer du doigt les théâtres publics qui seraient vides. De se répandre sur l'échec de la démocratisation culturelle. Quand on veut tuer son chien, on l'accuse de la rage. C'est bien connu. Les acteurs de la culture ne sont pas dupes de ces tentatives de division. Ils savent que les enjeux qui les rassemblent aujourd'hui sont bien plus importants que leurs différences. Que si le système mérite d'être réexaminé, il ne peut l'être de cette manière, violente et insultante. L'idée d'une loi de programmation a été évoquée l'autre matin à l'Odéon. La journée d'action d'aujourd'hui ne se contentera pas de sonner l'alarme."

    (Pris dans L'huma - 29/02/2008)

    A écouter l'interview de Jean Pierre Vincent et Stanislas Nordey aux micros des matins de F.Culture
    http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/matins/fiche.php?diffusion_id=60338

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  • Le musée d'Art contemporain de Lyon rend hommage au subversif Keith Harring, qui fut longtemps sous-estimé.
    L'altruiste américain a offert son art au plus grand nombre, esquivant les réseaux habituels. Il a débuté en dessinant sur des panneaux publicitaires dans le Métro, dans la rue, ensuite s'impliquant auprès des enfants (notamment dans les hôpitaux), des jeunes des ghettos.
    Des peintures émouvantes, il a su transmettre son énergie, son engagement contre toutes formes de violence et d'oppression (religion, racisme, drogue..), la lutte contre le sida a été aussi son ultime combat, laissant des œuvres bouleversantes mais laissant toujours des notes positives.
    Un intense moment à scruter les peintures vivantes du new-yorkais.

    Connaître :
    http://www.haring.com/index.html

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  • http://www.nuits-metis.org/electrodunes/electrodunes.html

    (Concert Les Invites 2007 - Villeurbanne)


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