• Un théme qui m'énerve, qui me fait naître une rage féroce c'est la prostitution en Thaïlande. On constate de plus en plus que des touristes Occidentaux/ Américains viennent dans ce pays afin de se faire plaisir, juste pr leus pulsions sexuels, des mecs qui se déplacent et dépensent leurs fortune là dedans! une honte ! Venir dans un pays en voie dévelloppement, juste pr quoi faire, pr se dévergonder. Là, on voit la débauche de certains!c'est humiliant de se comporter comme ça. Mais qui pourra arrêter ce fléau qui ne cesse d'augmenter? Une calamité dont l'homme est le fondateur.


    " Les américains ont besoin de filles, nous, de dollars ! ". Telles sont les paroles qu'un chef du gouvernement vietnamien avait prononcées en 1967 afin de tirer profit de la présence des soldats américains dans son pays...

    Dans certains pays, les hommes ou les enfants sont utilisés comme de la chair à canon, en Thaïlande, les filles et les femmes servent de support aux plaisirs exotiques en tout genre !

    Le phénomène de la prostitution ne fait que révéler la façon dont les femmes sont traitées en Thaïlande. Une discrimination imposée à tous les échelons de la société. La main d'œuvre bon marché est assurée par les femmes qui sont sous payées par rapport aux hommes. L'accès à l'éducation est plus rare pour une fille que pour un garçon. La violence domestique constitue également un problème important pour ces femmes qui ne sont pas protégées par la loi. Un homme marié n'est pratiquement jamais poursuivi par la justice en cas de viol conjugal car les lois, dans ce domaine, font défaut et le risque encouru par le suspect est minime.

    Grâce à une certaine pression internationale, le gouvernement a pris des mesures pour lutter contre toutes ces pratiques portant atteinte à l'intégrité des femmes thaïlandaises et a, parallèlement, accepté de réviser ses lois. Une décision qui permettra, à une majorité de femmes, d'éviter ou de sortir de cet enfer terrestre dans lequel elles ont été placées depuis trop longtemps.

    photo : BNF


    2 commentaires
  • "Histoire de l'enfant qui devait reconstruire le monde"
    de Adolfo Perez Esquivel(prix Nobel de la Paix 1980).

    Un petit garçon de 8 ans. Son père, un scientifique, cherche à résoudre les problèmes de l'humanité. Le petit entre, lui tire la manche et lui dit : "Papa, je veux t'aider !"

    Son père le renvoie : "Non, mon fils, j'ai beaucoup de travail."

    Mais le petit insiste. Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu'il lui remet avec de la colle : "Voilà, essaie de reconstruire le monde." Croyant occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours.

    Mais après deux heures, le fils a résolu le problème. "Comment as-tu pu faire cela ?"

    "Eh bien, Papa, j'ai vu que l'autre côté de la carte, il y avait la figure d'un homme. Le monde, je ne le connais pas. mais l'homme, si. Alors, j'ai retourné tous les petits papiers. Et j'ai d'abord reconstruit l'homme. Puis, j'ai retourné le papier, j'avais reconstruit le monde aussi."



    2 commentaires

  • Aujourd'hui s'est déroulée une rencontre avec le comédien Philippe Torreton, le Richard III de Shakespeare, Robert des Rois Maudits, Scapin de Molière, Henri V de Shakespeare, Conan ds le film de Tavernier.
    Un acteur passioné par le théâtre, possédant une fougue impressionnante.
    Un homme simple, sans orgueil, qui aime son métier avec passion et qui nous fait partager à tout instants ses émotions, ses sentiments.
    Un comédien plutôt réservé toutefois ayant un engagement important dans le monde politique mais aussi dans l'éducation afin que tous individus de milieu social différents puissent un jour aller au théatre, de découvrir un univers si peu connus des français...donc peut être le nouveau jean Vilar est là ? qui sait !  


    1 commentaire
  • Il abandonne ses études de lettres et se rend à Paris en 1932 oû il suit les cours de philosophie d'Alain, et de théâtre de Charles Dullin. Après avoir été codirecteur du théâtre ambulant La Roulotte, il fonde sa propre compagnie, la Compagnie des Sept, en 1943. En 1942 il a monté sa première pièce : La Danse de mort, de Strindberg.

    En 1945, Meurtre dans la cathédrale, de T.S. Eliot, créé au Vieux Colombier, impose Vilar comme acteur et metteur en scène au public et à la critique.

    En 1947 il fonde le Festival d'Avignon.
    En 1951 il est nommé à la tête du Théâtre National Populaire. Son objectif est de faire venir à Chaillot un public populaire, au moins 2500 personnes chaque soir, à un prix très bas. Il créé l'association des Amis du Théâtre populaire, et fonde la revue Bref. Vilar réussit à associer au théâtre les notions de fête, de cérémonie et de service public.

    Ses mises en scène se basent sur un complet dépouillement scénique : pas de décor, un éclairage très contrasté et proche du travail des expressionnistes, des costumes flamboyants. Il prend souvent des peintres comme collaborateurs. Le théâtre doit être à la portée de tous. Il recherche un nouveau public, un théâtre socialement unificateur. "Il s'agit de faire une société, après quoi nous ferons peut-être du bon théâtre".

    A partir de 1961, le TNP se politise. Vilar choisit de monter Antigone, de Sophocle, Arturo Ui, de Brecht, l'Alcade de Zalamea, de Calderon, et une adaptation de la Paix, d'Aristophane, toutes pièces qui traitent du fascisme, de la justice militaire, ce au moment précis de la guerre d'Algérie.
    En 1963 le mandat de Vilar au TNP prend fin. Il se consacre entièrement à Avignon.

    En juillet 1968 quelques centaines de contestataires venus de Paris envahissent le festival, gênent les représentations en réclamant l'engagement révolutionnaire des artistes, et cherchent à obliger Jean Vilar à prendre position. La troupe du Living Theater quitte Avignon, mais Vilar parvient à sauver le festival, rappelant que "pendant la Révolution Française, entre 1789 et 1795, les théâtres ont joué tous les soirs".

    Jean Vilar meurt en 1971. Une multitude de théatres, de centres culturels et d'écoles portent aujourd'hui son nom. Preuve comme il le disait souvent que «Le poète a toujours le dernier mot.»


    2 commentaires

  • Le groupe reggae Mighty Cut sur la scène du Ninkasi Kafé
    Bonne ambiance, plutôt cool, sympathique et chaleureuse ! :)
    Du pur Roots Reggae instrumental, Mighty Cut reprend des vieux standards Jamaïcains des années 60 à 70, avec ce vrai respect de la tradition rasta. Une belle qualité d'interprétation..

    votre commentaire